SCUC, le réseau de chaleur de Créteil

En perpétuel développement depuis sa création en 1970, le réseau de chauffage urbain
de Créteil est aujourd’hui le sixième réseau en France par sa taille et sa puissance
installée.

Tech 1

Ce réseau s’inscrit dans l’engagement de la Ville pour une transition énergétique et
écologique. À Créteil, 64 % des énergies utilisées proviennent d’énergies renouvelables
et de récupération : la géothermie et la chaleur fournie par l’unité de valorisation des
déchets ménagers Valo’Marne.
Ces éléments garantissent aux abonnés du réseau la stabilité des prix et l’accès à une
TVA réduite à 5,5%.

Quelques chiffres

Installation 1

Le réseau SCUC c'est :

  • plus de 50km de long
  • 300 sous-stations
  • 16 chaufferies
  • 1 unité de valorisation des déchets ménagers
  • 1 puits de géothermie équipé d'une pompe à chaleur
  • 1 cogénération qui produit chaleur et électricité
  • plus de 40 000 équivalents-logements raccordés

Impact environnemental

Le réseau de chauffage urbain évite le rejet de 49 000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère chaque année. Cela correspond au retrait de 27 360 voitures au coeur de Créteil.

Le réseau de chauffage urbain : une solution d'avenir

Bénéfiques pour l’environnement, sécurisants pour leurs usagers et la population, avantageux pour le pouvoir d’achat, encouragés par les pouvoirs publics : les réseaux de chaleur sont appelés à se développer fortement dans les années qui viennent.

D’autant plus que leur développement passe obligatoirement par un verdissement rapide de leur bouquet énergétique. En France, si en 2005 le chauffage des abonnés se faisait en utilisant 74 % d’énergies fossiles et seulement 26 % d’énergies renouvelables et de récupération, depuis 2015, les énergies vertes représentent plus de 50 % du mix énergétique des réseaux de chaleur, atteignant même plus de 57% en 2018 ! Soit un doublement en 10 ans ![1]       

L’objectif de quintuplement des quantités de chaleur renouvelable et de récupération livrée par les réseaux fixé par la loi de transition énergétique à l’horizon 2030 va renforcer encore davantage le développement des réseaux de chauffage urbain et des EnR&R.

[1] Cf. Observatoire des réseaux de chaleur, juillet 2017 : http://www.observatoire-des-reseaux.fr/evolution-du-bouquet-energetique/ + Enquête sur les réseaux de chaleur et de froid, édition 2019, SNCU, Fedene